D.H. Lawrence s’est imposé comme un romancier sulfureux, et c’est lui faire grand tort que de le limiter à cette place dans la littérature. Prolixe, doué de tous les talents, il fut peintre mais on l’ignore, il fut poète, on le traduit peu. C’est un grand nouvelliste, qui s’en soucie sinon les éditions Le bruit du Temps engagées […]