A défaut d’être celui d’une presse aussi grégaire qu’ignorante, Mes amis s’est affirmé en quelques semaines comme le compagnon de ces libraires qui ont placé une certaine forme d’exigence en tête de leur préoccupation, conscients qu’un premier roman des années vingt a peut-être tout autant de force sinon plus qu’une pâle nouveauté que l’hiver enterrera. […]