Die Dichte, c’est maintenant

ou jamais (ou presque). Il reste quelques représentations de la « performance » initiée par Denis Cointe sur le texte écrit et lu par Marie NDiaye sous le titre de Die Dichte et édité sous celui d’Y penser sans cesse : Dax, Saintes, Nérac, Pessac, Villeneuve-sur-Lot. Après quoi il ne restera à ceux qui l’auront manqué que le secours du livre, ce qui est néanmoins une intense consolation.

(NB. Quelques échos médiatiques : une courte (mais intense) chronique d’Arnaud Laporte sur France Cultureune longue (mais intense) page dans Le Monde du 29 avril dernier…)