Vœux d’amitié

Le rapprochement n’est peut-être pas si étrange que cela : évoquer les amis vus par Emmanuel Bove dans son roman éponyme et les amis croqués par Sempé dans son dernier album. “C’est un livre doux et mélancolique, pathétique sans misérabilisme, écrit dans une langue oubliée. Bove avait le génie de parler de soi sans parler de lui”, écrit Pierre Assouline dans son éditorial du Magazine littéraire à propos du premier. Nous vous laisserons découvrir comment survient le second, Bordelais tiens, on l’oublie trop souvent.