Le livre est là, qui brille légèrement, avec ce miroir brouillé pour toute illustration et comme un ironique message au possible lecteur. Il attend son heure. Celle de découvrir enfin le dernier grand livre de J.Rodolfo Wilcock, paru quelques mois après sa mort, un recueil d’une inquiétante beauté sur les monstres les plus fous, c’est-à-dire les plus bizarrement banals. Rendez-vous en mai pour le découvrir enfin, dans une traduction de l’italien inédite de Lise Chapuis, au sein de sa collection selva selvaggia.
