Le diamant noir

“Recouvert par la poussière de l’oubli, ce roman hypnotique de 140 pages demande des dispositions particulières de la part du lecteur pour retrouver sa ténébreuse beauté : un certain goût de l’étrangeté, une faculté d’écoute, l’envie d’être transporté n’importe où hors du monde.” En une phrase, Sébastien Lapaque explique, dans Le Figaro littéraire, le magnétisme qu’exerce Les séquestrés de Yanette Delétang-Tardif sur ses lecteurs. Cet unique roman a ses adeptes, Guy Dupré notamment, et Mathieu Terence qui a écrit une superbe préface pour ce livre, le premier de la collections Les Oubliées.