Le voyageur sans commerce

Charles Dickens

  • > Traduit de l’anglais par Catherine Delavallade
  • > Préface de Jean-Pierre Ohl
  • > Illustrations de David Prudhomme

Tandis qu’il compose le génial De grandes espérances, l’inlassable Charles Dickens fonde un nouveau périodique, “All the year round”, dont il assure à lui seul une grande partie de la rédaction. L’un de ses porte-parole, une «identité» de rechange, sera le Voyageur sans Commerce : sous ce nom, il parcourt Londres, l’Angleterre, la France, en flâneur à l’œil vif. On retrouve dans ces chroniques, rédigées jusqu’à sa mort en 1870, son goût pour l’errance – diurne et nocturne –, le détail pittoresque, le tableau touchant, macabre ou grotesque. Passant du trivial au fantastique, laissant libre cours à ses hantises et notamment sa fascination pour la mort, Dickens offre à ses lecteurs ébahis une vision de cet univers qui en fait l’un des plus grands écrivains de tous les temps. Inexplicablement inédits, ces textes méritent de rejoindre enfin ses chefs-d’œuvre qu’ils éclairent d’un jour nouveau.


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