Paul-Émile Loué est le plus génial des pianistes vivants. Il est aussi le plus laid. Si sa musique transporte, son apparence rebute : que dire quand un être aussi hideux touche d’aussi près la beauté absolue ?
Paul-Émile Loué est le plus seul des pianistes morts. Il est aussi le plus passionnant. Sur son cadavre, loin du monde ignorant, les larves font bombance : les suivrons-nous jusqu’au bout de leur festin ?
Avec ce roman stupéfiant de précision et d’invention, Jean-Louis Bailly a fait le pari que raconter la vie d’un génie et celle de son cadavre peut tour à tour émouvoir, éblouir et faire rire.
Un sidérant voyage vers la poussière.
“Un des romans les plus enthousiasmants du moment.”
Ouest France,
2 janvier 2011
“Jean-Louis Bailly a construit là une mécanique implacable, une impeccable machine narrative, parcourue de bout en bout par la présence obsédante et somptueuse de la musique (…) jusqu’à cette musique muette qui a envahi la cabane et qui contribue à faire de ce livre quelque chose de littéralement INOUÏ.”
L’Iresuthe,
décembre 2010
“L’humour et le jeu, salutaires mises à distance, sont partout sa marque qui le classe parmi ces jubilants écrivains qui parraissent-n’y-point-toucher.”
Encres de Loire,
décembre 2010
“(…) à la fois très précis et un peu fou, à la fois rigolard et désespéré. En tout cas une belle réussite.”
Presse Océan,
15 novembre 2010
“Ce que l’on entend derrière le spectacle de la désolation qui nous est promise, c’est le rire formidable de la camarde !”
Place publique,
novembre/décembre 2010
“Cette sublime et navrante trajectoire nous est narrée par Jean-Louis Bailly, prince de l'”understatement” pince-sans-rire depuis plus de vingt ans (…)”
Livres Hebdo,
8 octobre 2010
“Ouvrez ce livre sans répugnance, il est tout sauf morbide. Point n’est besoin d’être croque-mort (…) pour y trouver du plaisir ; il suffit de se laisser porter par une petite musique qui adoucit les morts.”
Le Matricule des Anges,
octobre 2010