Essai confessionnel plus qu’autofiction (sous le haut patronage de Rousseau et saint Augustin…) qui fait penser aux Mémoires sauvés du vent de Richard Brautigan dont Billon est un inconditionnel, ce texte qui joue avec les idées philosophiques, un peu à la manière de la poétesse W. Szymborska, retrace le parcours cahoteux d’un adulte observant le gamin qu’il a été. C’est l’histoire d’un enfant qui tente de comprendre le monde et la manière d’en profiter, d’en être heureux, aidé ou bousculé par un père génial mais parfois misérable et très inquiétant, un scientifique qui poursuit un graal, un psychiatre débordant de troubles et de manies. Celle d’un adulte qui aimerait vraiment réunifier le monde de la spéculation et le monde de la vie.
C’est un roman d’amour qui ne dit pas son nom.
“une chanson d’amour, un hymne au père fou et génial, dont le cœur fragile vibre à chaque page.”
Librairie L’usage du papier
août 2024
“Les sentiments sont complexes, profonds et mêlés comme une pelote passée entre les griffes d’un chat. Le bonheur pur côtoie la tristesse et la mélancolie.”
Aurélie Janssens librairie Page et Plume, Limoges
août 2024
““Un splendide premier roman, un portrait de père, une enfance – l’intelligence, l’émotion et la tendresse.”
Philippe Touron librairie Le Divan
août 2024
“une métaphysique à hauteur d’herbe.”
Jean Blaquière dans Sud-Ouest Dimanche
juillet 2024