Chacun porte en soi un trésor fait de mots anciens, de langues apprises puis négligées, de lieux aimés et disparus : une géographie intime de signes et d’espaces qu’il faut réinventer pour mieux les mettre au jour.
En voyageant, en écrivant, Thierry Laget confie à ses phrases le soin de restituer, voire de susciter le souvenir. De la Toscane à l’Angleterre, de l’Auvergne natale à la Touraine, ce sont autant de provinces du seul pays qu’il vaille de conquérir pour un écrivain, celui d’une mémoire magnifiée par la littérature.
« Peut-être l’homme n’est-il que l’instrument dont la langue se sert pour se reproduire et se continuer », reconnaît-il dans cette déclaration d’amour aux mots. Comme une autobiographie qui aurait les atours d’un beau roman d’apprentissage.
“Un jeu d’ombres dont la langue de l’écrivain règle la scénographie”
Le Monde
20 décembre 2013
“Prose délicate”
Le Nouvel Observateur
28 novembre 2013
“Tout l’art de Thierry Laget réside dans la limpide et charnelle beauté du verbe.”
La Montagne
8 novembre 2013
“Chez Laget, le cliché est mystérieux, ma langue vous déplace comme vous déplace une métaphore au terme inattendu.”
Junkpage
Octobre 2013
“Deux nouveaux opus de Thierry Laget pour restituer leur éclat singulier aux trésors du souvenir, à la découverte des langues et aux chimères de l’amour.”
Le Matricule des Anges
septembre 2013
“Éblouissant.”
Sud Ouest Dimanche
22 septembre 2013
“L’occasion de constater l’exactitude de la mémoire [de Thierry Laget] et la souplesse élégante de sa prose.”
Livres Hebdo
31 mai 2013
“Délicats, sans fadeur, ces instants d’amitié et de confidence nous entraînent à Londres et en Toscane où (…) Laget perçoit l’éternité.”
Valeurs Actuelles
1er août 2013