« En fait, c’est assez simple, il y a les écrivains qui se complaisent dans le réel, qui fourrent leurs phrases dedans, qui en rajoutent une couche ; et les écrivains qui prennent le réel dans les rets tranchants de leurs phrases afin de le retailler à leur guise.
Les premiers sont inutiles, possiblement nocifs (cette dose de réel encore pourrait être celle de trop) et ils ont la préférence des critiques de la presse (les journalistes aiment le réel tel qu’il est comme le boutiquier les rossignols de son fonds de commerce) et de la majorité des lecteurs qui souvent ne conçoivent que ce qu’ils perçoivent…
… mais les seconds ourdissent dans leur coin une terrible vengeance. »
Parmi ceux-ci, au milieu des ruines, vous avez choisi le plus vivant, sa vengeance quotidienne est une bénédiction.
“Chevillard est doté d’une plume fabuleuse au service d’une imagination débridée.”
Miossec dans Ouest-France
25 mai 2014
“Non seulement le diariste est en vie, mais, dans une santé resplendissante, il pète le feu.”
– Bernard Pivot
Le Journal du dimanche
9 février 2014
“L’humour (souvent noir), la virtuosité, l’inventivité devraient exercer leurs effets sur un grand nombre!”
Le Temps
25 janvier 2014
“Lire le Journal de Chevillard est dynamisant comme le café fort du matin.”
Le Soir
18 janvier 2014
“La littérature d’Éric Chevillard, c’est toujours la poursuite burlesque de la poule et de son œuf.”
Libération
16 janvier 2014