Avec le froid de l’hiver reviendra le Chevillard, non point le boucher chargé de découper les viandes récalcitrantes mais l’écrivain, le créateur de l’Autofictif, qui, depuis cinq ans, chaque jour sur le métier remet son ouvrage pour la plus grande gloire de la littérature. Le 16 janvier paraîtra donc L’Autofictif croque un pimentdans lequel le lecteur pourra juger que la température monte, que les esprits s’échauffent, que les enfants poussent et que le talent ne s’érode pas quand on l’entretient avec soin et obstination. Et c’est loin d’être fini…