Traductrice

A défaut de lire nos livres, Sud-Ouest Dimanche s’est intéressé à notre directrice de collection et traductrice Lise Chapuis. Il a fallu la disparition d’Antonio Tabucchi qu’elle a contribué à faire connaître chez nous pour qu’on se tourne vers elle, sans doute un vieux réflexe nécrophile de notre bonne presse régionale. Dommage qu’on ne l’ait pas interrogé sur sa connaissance de la littérature italienne, sur son envie de traduire une autre langue, sur ses découvertes dans sa collection Selva selvaggia, surAleksej Meshkov paru en février (Le chien Iodok), sur Mario Levrero paru en mars (J’en fais mon affaire). N’en demandons pas trop et réjouissons-nous que notre amie traductrice et directrice se voit honorée d’un bel article avec photo (couleurs).