L’éditeur qui aimait les arbres qui aimaient les hommes

Heureusement il reste Bifrost, la fameuse revue des imaginaires qui a le soin de se pencher sur nos livres passés à la trappe par la majestueuse critique littéraire peu encline à se frotter aux arbres qu’elle contribue pourtant à massacrer à coups d’articles insipides dont on se servira pour allumer le feu. Elle consacre ainsi un bel article (beau parce qu’élogieux ? ben oui…) à notre réédition d’un oublié de la littérature fantastique, Algernon Blackwood. Vous pourrez lire cette chronique ici.