Un verbe à l’infinitif pour titre, invitation à la chute ou au voyage ? Vous le saurez en janvier prochain puisque c’est ce mois-ci que paraitra le roman tant attendu d’Eric Chevillard aux Editions de Minuit, Choir, deux ans après Sans l’orang-outan qui avait marqué de son empreinte forte les esprits. Nous aurons donc le même mois deux opus du discret et nécessaire auteur réfugié à Dijon car une semaine après Choir verra le jour le deuxième tome de l’Autofictif, couvrant l’année 2008-2009 : L’Autofictif voit une loutre. Les fêtes de Noël vont paraître insipides aux adeptes d’Eric Chevillard mais quelle revanche en janvier!
Et en scoop absolu une phrase du roman prochain que les vengeurs ont commencé et qui, s’en étonnera-t-on, les réjouit fort :
“Nous supposons cependant que Choir est une île, un anneau de récifs enseveli sous le sable et fermé autour d’une mer intérieure.”
Le mystère reste entier, le suspens total…
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