« Mon écriture privilégie ces deux motifs : l’aphorisme et la digression. Et cependant, j’échoue misérablement chaque fois que j’essaie de placer – ce serait mon grand œuvre – une digression dans un aphorisme. »
Et si le grand œuvre d’Éric Chevillard était cet Autofictif, entreprise littéraire unique en son genre, dont voici la septième année ?
On y découvre une fois encore que, si écrire n’est pas tous les jours un conte de fée, le lire en revanche est merveilleux.
“Éric Chevillard a fait de l’originalité une pratique régulière, familière, et de la forme brève un rendez-vous aussi naturel qu’ancien.”
Le devoir
7 mars 2015
“Claro et Chevillard ont en commun d’être vivants. C’est dire qu’ils remuent […] : la langue, les pensées, et par exemple les idées (toutes faites) de leurs contemporains – c’est un peu cela, la littérature.”
Elsa Gribinski dans Junkpage
février 2015