Reconnu par les Anges

“Un petit livre dont la brièveté n’a d’égal que l’élégance et la finesse” : c’est en ces termes choisis que Guillaume Contré évoque dans les colonnes du Matricule des Anges le fin Reconnus de Guy Robert. Inutile de préciser qu’on abonde dans son sens et qu’on prie les amateurs de légèreté intelligente de s’en persuader tellement qu’ils le réclameront à leurs libraires.