Voilà bien un livre qui rend difficile toute appréciation critique construite tant il tourne le dos à la narration, au récit à l’histoire pour se concentrer sur le seul pouvoir d’évocation des mots qui sont de magnifiques objets de jeu. Nelly Maurel s’en est servi comme une plasticienne le ferait d’un matériau à apprivoiser tous les jours et qu’on redécouvre à chaque instant. Le mensuel JunkPage s’est essayé à l’exercice critique.
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