A compter au nombre des amis avérés de Mes amis, l’écrivain et critique Mathieu Lindon qui dans le supplément Livres du Libération du 14 novembre souligne qu'”à cause ou malgré son humour, l’œuvre de Bove fini(r)ait par faire peur, à frapper si juste”. Une peur que l’on voudrait contagieuse si l’on avait tant besoin que la littérature rassure, ce pour quoi, malgré tout, elle ne semble pas avoir été inventée.
‹ | › |
‹ | Parcourir les actus | › |