L’œil n’était pas dans la tombe

Jacques Spitz fait partie de ces grands noms méconnus de ce genre un peu caricaturé qu’est l’anticipation. Il y a consacré quelques années avant de lui tourner le dos, à la limite du reniement de ses propres écrits. Parmi une dizaine de titres, un s’impose et continue de séduire : L’œil du purgatoire que nous avions réédité il y a plus de dix ans mérite assurément d’occuper une belle place dans les bibliothèques des lecteurs curieux. Il constituera le 200° livre de notre maison d’édition et le 10° de notre jeune collection L’Arbuste véhément.