Publiés dans la presse à un rythme soutenu, les contes de Mirbeau ont souvent été négligés par leur auteur qui les prétendait alimentaires… Et pourtant quelle nourriture pour l’esprit !
Leur exhumation par sa veuve a permis de redécouvrir à quel point ils étaient subversifs et drôles. Composés pour une presse bourgeoise, ils s’en prennent à la bonne conscience, au confort moral et intellectuel de lecteurs qu’ils espèrent bousculer. Car l’auteur du Journal d’une femme de chambre n’a jamais renoncé à effaroucher ces hommes qui ruminent dans un troupeau voué à l’abattoir sinon aux urnes…
Grand démystificateur mais surtout écrivain brillant dont la modernité impressionne, il manie le tragique, le comique et le grinçant pour s’en prendre au cynisme, au cléricalisme, à l’hypocrisie, au nationalisme : à l’insondable bêtise en somme.
Polémiques, radicaux, ces textes témoignent de la vigueur de l’un des auteurs les plus saisissants et les plus inspirés de la supposée « Belle Époque »…
“Chers lecteurs, allez en librairie chercher ce formidable ouvrage”
Guillaume Contré dans Le Matricule des Anges
avril-mai 2020
“Avec ce recueil, Octave Mirbeau le libertaire frappe d’un grand coup qui résonnera longtemps !”
Publié par Touchez mon blog, Monseigneur…
4 juin 2020
“[des] perles d’ironie grinçante où le génial auteur du Journal d’une femme de chambre préfigure Kafka, MArcel Aymé et Roland Topor.”
Grégoire Leménager dans L’Obs
4 juin 2020
Sebastian Dieguez dans Vigousse
mars 2020