Sous la patronage du Zeno de Svevo obsédé par sa tabagie, Raphaël Rupert, l’auteur d’Anatomie de l’amant de ma femme (prix de Flore 2018) nous raconte la vie d’Hector Schmidt au prisme de la migraine (classée 20e maladie au monde par l’OMS…) qui le poursuit et l’accompagne depuis l’enfance. Maladie par excellence des écrivains ? s’interroge le narrateur qui n’est jamais en mal de référence. Hugo, Balzac, Maupassant, Sand, Stendhal, Flaubert, Gide ont tous contribué à l’anthologie des grands migraineux de talent. On en parle, on l’étudie mais on ne la vainc jamais. Alors une fois que l’on a tout dit, c’est peut-être la littérature qui peut essayer d’éclairer cette part d’ombre. Dans ses pages, le héros à la tête hachée, après avoir tâté de la psychiatrie, interroge, subit, raconte, tente des expériences qui vont le mener dans des lieux inattendus.
“Drôle et percutant.”
Stéphane Babey dans Vigousse
septembre 2022
“Du réel à l’hallucination, du quotidien à l’extraordinaire, Raphaël Rupert se fait de drôles de nœuds au cerveau.”
Pierre-Edouard Peillon dans Le Monde
mai 2022
Marie Viguier dans Maze
mai 2022
⭐️⭐️⭐️⭐️/5
“Si son ton reste volontiers humoristique, son érudition manifeste et son approche du sexe résolument frontale, Raphaël Rupert a mûri en tant qu’écrivain.”
Lire – Le Magazine littéraire
janvier 2020
“À la fois hilarant et infiniment touchant.”
Pierre Vavasseur dans Des minutes de lumière en plus
avril 2022
“Et si le rire et le (semblant) de légèreté étaient les plus efficaces des thérapies ?”
Martine Librairie Tonnet (Pau)
avril 2021
“Très drôle & intelligent ! Quel bonheur de retrouver l’écriture de Rupert.”
Librairie Mollat, Bordeaux
mars 2022
“Il y a chez Raphaël Rupert un dandysme, un art du gag pince-sans-rire, une manière anglaise d’affronter les catastrophes.”
Bernard Quiriny dans L’Opinion
mars 2022
“Après « Anatomie de l’amant de ma femme », Raphaël Rupert récidive avec un nouveau titre où se confirme un talent original et savoureux.”
Jean-Marie Planes dans Sud Ouest Dimanche
20 mars 2022
“Un FABULEUX roman qui interroge notre rapport à la douleur, celle qu’on ne peut ni prouver, ni apprivoiser. Le tout dans un style éblouissant. COUP DE CŒUR !.”
La Librairie de Paris, Place Clichy
mars 2022