Hadrosaure et chevaux anglais

Ce sont nos deux petits cadeaux de Noël, récoltés dans les médias qui sont gentils avec nous en cette trêve des confits d’oie et des confits sœurs. Dans le dernier numéro garcinesque du Masque et la plume, Jean-Louis Ezine, pour son ultime conseil radiophonique sur les ondes de France Inter (c’est dire notre émotion), a joliment parlé de l’Almanach des uns, des unes et des autres de Franz Bartelt (“le meilleur auteur des Ardennes depuis Rimbaud”) en évoquant l’Angleterre et les chevaux (deux sujets cruciaux).
Dans Le Monde, c’est Pierre-Edouard Peillon qui fait un joli sort à Sur un os de Ricardo Elias : “Dans ce roman, la roue tourne comme une mécanique tragi-comique – la même qui guide la sémillante plume de Ricardo Elias.”
Si avec cela les lecteurs ne se ruent pas en librairie tout de suite (ah oui, mince, aujourd’hui c’est fermé), c’est à y perdre ses derniers os.