Au début, il y a Rien. À la fin aussi.
Rien avec une majuscule, un nom propre mais pas commun, un nom pas facile à porter. Et puis il y a Personne qui va changer sa vie.
Au début, il y a Rien. À la fin aussi.
Entre les deux s’entremêlent des histoires singulières. Des lignes de vies qui s’entrecroisent d’un chapitre à l’autre, engendrent des rencontres improbables, des occurrences impromptues et des destins incertains, suscitent des envies de sexe et de meurtre. Et attirent des convoitises d’argent rapide.
Souffleur de vers, colleur d’affiche, photographe de rue, auteur de jeunesse, comédien renommé, écrivain ou capitaine de gendarmerie, tous les personnages sont touchés par la grâce ou la malédiction de l’aptonymie, la force du déterminisme patronymique qui prédestine à leurs désirs, induit leur posture et une part de leurs affects. Certains en jouissent, d’autres tentent, malgré eux, de résister à ce malheur.
Et si Lediable, spécialiste de l’inconscient des autres, était la femme qui avait tout manigancé, tout écrit, tout nommé ? L’écriture deviendrait-elle un crime parfait ?
Ce serait sans compter sur l’impondérable. Ni sur la « nécessité extérieure » avec laquelle André Breton élabore son « Hasard objectif ». Et qui inspire, à sa façon, la trame de ces fictions détachées et de ces aventures en cascade.
Car dans chaque récit qui nourrit ce roman choral, s’entrechoquent, avec humour et dérision, des petites destinées et des grandes déconvenues. Des mensonges anodins et des grandioses impostures. Des accès de cupidité et des personnalités doubles. Des vies ratées et des espérances déçues. Pendant qu’autour d’eux se vide le canal Saint-Martin pour son nettoyage décennal. Il découvre les débris, les rebuts et les objets obsolètes enfouis dans la fange et la boue. Et met au grand jour tout ce qu’on aurait tant souhaité dissimuler…
“Un vrai plaisir, où l’humour grince et l’écriture dans, délicieuse.”
Librairie Bookstore, Biarritz
juin 2021
“On n’en finirait pas de lister toutes les qualités de l’ouvrage de Gilles Verdet, dont l’écriture magnétique, drôle, belle et tragique, harponne le regard pour ne plus jamais le lâcher. À découvrir absolument.”
Stéphane Babey dans Vigousse
mai 2021
“Ça commence comme un Amélie Poulain et puis, petit à petit, ce roman-puzzle se déploie de façon machiavélique. ON AIME !.”
Nathalène, LibrairieL’Utopie
mai 2021
“Gilles Verdet continue avec Nom de noms à explorer la vie des gens qui, d’ordinaire, restent dans l’ombre, comme Jean-Pierre Martinet, partis de rien et arrivés nulle part… La brochette de personnages ci-présentée a en commun un nom à coucher dehors : Rien, Personne, Lediable, etc. Leurs destins vont se trouver emmêlés dans sombre histoire de chantage partie de… pas grand-chose. Avec humour et en observateur attentif et bienveillant, Gilles Verdet dépeint les blessures de la vie qui parfois nous pèsent depuis la naissance.”
Jérôme, L’Escampette, Pau
“Un polar atypique, très joueur, très noir.”
Librairie La Folle Avoine
avril 2021
“Ca commence comme un “Amélie Poulain” et puis, petit à petit, ce roman-puzzle se déploie de façon… machiavélique… ON AIME !”
Nathalène de La Librairie Utopie, Paris
avril 2021
“Être Rien ce n’est pas grand chose mais c’est déjà Bien pour quelqu’un ou pour Personne. Est-ce qu’un patronyme peut conditionner une vie, déterminer un destin ?
Chacune des nouvelles qui compose ce roman choral, chaque histoire, est une facétie littéraire joyeuse façonnée dans une argile d’amour des mots et une profonde humanité. On pense à Marcel Aymé, Boris Vian, Quiriny, les pieds plus ancrés dans la réalité mais la verve toujours aussi vivace.
Un véritable antidépresseur !”
Aurélie Janssens Librairie Page et Plume à Limoges
Marie-Valère Marchand pour Art District Radio
avril 2021
Nikola Delescluse dans l’émission Paludes pour Radio Campus Lille
avril 2021
Jean-Claude Bologne, dans son blog Lectures 21
mars 2021
La Librairie du Tramway
mars 2021
“Petit roman original, rythmé où l’on se balade dans le métro, vers et sur le canal St Martin … qui commence et finit avec “Rien” mais ce n’est pas si sûr qu’il ne se passe rien ...”
Sophie de Cariño Librairie-café
Paris
mars 2021
“Oxymores, non-sens et rire grinçant, de quoi sommes-nous le nom ?”
Lionel Germain dans Sud Ouest
21 mars 2021
“Ciel mon patronyme !
Ronan, librairie L’autre Monde, Avallon
mars 2021
“Des personnages haut en couleur, un dédale de rebondissements et qui sait, un crime parfait ? Un ovni surprenant qui ne laisse aucun répit.”
Marion, librairie Tram, Paris
mars 2021
“Véritable pépite littéraire, petit Ovni du rayon littérature, à l’écriture d’une grande sensibilité et à l’humour acerbe. On en croise trop peu, des ouvrages de cette qualité, au style si impeccable, et c’est bien dommage. En attendant, je suis tellement heureuse d’avoir pu quitter mon quotidien un peu morne pour suivre ces personnages rocambolesques, hauts en couleurs, et si profonds. Merci petite chercheuse de pépites. Tu as si bien fait d’insister. C’était un réel plaisir de se laisser envahir par l’émotion au détour d’une phrase si bien pensée, ou par la surprise lorsqu’on comprend où l’auteur s’amuse à nous amener.
Je n’en dis pas plus et je vous laisse découvrir ce petit chef d’œuvre. Il s’agit de Nom de nom de Gilles Verdet aux éditions de l’Arbre vengeur.”
Julia, librairie Le Failler, Rennes
mars 2021
“Un joyeux rubik’s cub littéraire ! Et finement écrit. Verdet nous mène d’anonyme en anonyme vers le crime parfait ! Une pérégrination jubilatoire au gré du Canal Saint-Martin.”
Julien, librairie Litote en tête, Paris
mars 2021
“Rien ni Personne ne nous arrêtera. Drôle et très bien alambiqué, déroutant et rebondissant à souhait, une petite perle de derrière les fagots : vous m’en direz des nouvelles, ça se déguste ma bonne dame !”
Simon, librairie Atout Livre, Paris
mars 2021
“J’ai littéralement dévoré le “Nom de noms” de Gilles Verdet où il reprend le principe de son “Fausses routes” (grand prix SGDL de la nouvelle 2016) en le poussant à son paroxysme. C’est notre coup de cœur littérature du mois de mars.”
Laurent, Librairie du délit, Paris
mars 2021
“Ce roman est dingue !!! Des nouvelles indépendantes avec néanmoins un fil rouge : le nettoyage du canal Saint-Martin et des bouts de vie qui s’entremêlent…
La première nouvelle, Pour rien au monde, m’a beaucoup surprise : des phrases courtes, un projet cocasse et des jeux de mots : ça m’a fait un peu penser à un sketch de Raymond Devos…”
Corinne, Fnac, Quimper
mars 2021
“Une lecture jubilatoire ! Quelle plume ! Bravo !”
Laure, La Petite Librairie, Sommières
mars 2021
“Un roman rocambolesque. Un nom de famille peut-il influencer notre destin ? Drôle, curieux, obsédant.”
Lucie, librairie Mollat, Bordeaux
mars 2021