Précédé de O.Henry, nous voilà ! d’Antoine Blondin
Pourquoi un écrivain que les Américains révèrent tant reste-t-il un quasi inconnu des Français ? C’est là un vrai mystère. Les hypothèses ne manquent pas pour expliquer ce curieux échec. Pourtant, il suffit de se plonger dans ses nouvelles que traverse une ironie douce amère pour en saisir le génie. À la lisière du rire et de l’inquiétant, truculent et habile dans son art de la chute, il a parfois la profondeur d’un Tchekhov et souvent l’humour noir d’un Ambrose Bierce. Mais il est unique.
Parmi ses centaines de textes, en voici huit qui témoignent de son esprit et de sa concision, un Grand huit où se succèdent, tressautantes, des histoires d’imposture et de fatalité, de coïncidences et de perfidies. O.Henry nous embarque dans son univers pour un voyage dans les eaux, pas si douces, de sa malice.
“On y découvre l’humour constant d’O.Henry et une plume parfaitement maîtrisée.”
Nikola Delescluse, émission Paludes, Radio Campus Lille
30 avril 2021
“Le chaînon manquant entre Mark Twain et les chroniqueurs du New-Yorker.”
Stéphane Babey dans Vigousse
avril 2021
“Un écrivain génial.”
Jérôme Delclos dans Le Matricule des Anges
avril 2021
“Retrouvez le plaisir des soirées au théâtre avec ces histoires édifiantes qui mettent en scène la comédie humaine sans cesse renouvelée dans les affaires du quotidien. Un conteur hilarant, aux dénouements toujours inattendus.”Librairie Le Divan, Paris XV° avril 2021
“« La fantaisie est à peu près la seule occasion qui nous soit donnée de dire la vérité » écrivait O. Henry. Les hypothèses de l’échec illustre exemplairement ses propos : un comique de situation sans pareil, une écriture malicieuse et travaillée, un sens de la chute des plus ponctuels, tout cela pour mieux rire de « la machine sociale » dans laquelle nous sommes tous pris au piège.”
Paul Aymé de la Librairie Le Silence de la mer à Vannes
avril 2021
“O. Henry a publié des centaines de récits humoristiques. En voici huit, illustrant son art de la mise en scène et son ton pince sans rire.”
Bernard Quiriny dans Lire-Magazine littéraire
avril 2021