Si « aucun homme n’est une île », certains aspirent néanmoins à découvrir celle qui les rendra heureux. Le héros de ce récit, l’un des derniers et des plus intenses de D.H. Lawrence, a choisi de quitter le continent pour se tailler un royaume à sa mesure. Mais où trouver sa plénitude ? Comment être à soi-même un territoire fini ? Botaniste qui tente d’ordonner le chaos du monde ou maître qui organise son domaine au milieu de la mer, l’insulaire volontaire va ainsi aller, île après île, jusqu’au bout de son utopie personnelle.
Voici un texte limpide, beau et méconnu où éclate le génie tourmenté de l’écrivain anglais, un texte à lire seul au milieu du monde.
“un éblouissant conte philosophique.”
Jean-Louis Ezine dans Le Chasse-Marée
octobre 2023
“Un court récit prenant et inéluctable.”
Stéphane Babey dans Vigousse
août 2021
“Une nouvelle précieuse aux allures de conte philosophique.”
La Croix Hebdo
juillet 2021
“Une merveille de texte à glisser dans le sac. Et rêver de solitude au cœur du monde.”
Antoine de Caunes
juillet 2021
“Un appel aux sens à savourer seul(e) face à la mer. .”
Sud-Ouest Dimanche
juillet 2021
“Le personnage de ce court roman, Cathcart, rêve de trouver son idéal du bonheur sur une île. Mais chaque île où il élit domicile s’avère trop grande ou trop peuplée pour son idéal. Jusqu’où le conduira sa quête ?
L’auteur de “L’amant de Lady Chatterley” signe ici un texte inclassable, sorte de parabole du renoncement, qui dit beaucoup de ce que nous sommes..”
Sébastien Laborde, Librairie des Halles, Niort
juillet 2021
“Une de ses meilleures nouvelles.”
Thierry Clermont dans Le Figaro littéraire
juillet 2021
“Une fable à lire et relire pour découvrir à chaque fois un aspect qui nous a échappé.”
Librairie Générale Arcachon
juin 2021
“Culte, lumineux, sablier infini, L’homme qui aimait les îles est une métaphore majestueuse. Lire face à la mer cette merveille et vous verrez comme tout change.”
Evlyne Leraut
mai 2021
“Un texte superbe et tourmenté”
Philippe Touron, Le Divan
avril 2021