Anthelme est célèbre ! Le Président de la République en personne vient décorer dans son village l’auguste chercheur qui a consacré sa vie à l’étude des insectes, composant une somme qui constitue un sommet littéraire. Mais Anthelme est un homme, qui vieillit et qui songe encore à l’amour. En s’inspirant des comportements des petites bêtes fascinantes qu’il a observées, il va donc imaginer un « crime », dicté par ses sentiments les plus ambigus, qu’il espère parfait et dans la lignée de cette amoralité si caractéristique du monde animal qui n’a de comptes à rendre à personne.
Sans jamais citer le nom de Jean-Henri Fabre qui lui a servi de modèle, Jean-Louis Bailly a ciselé un petit roman perfide, la vie minuscule d’un grand homme caché derrière sa réputation. Vif et intelligent.
“Délicieusement toxique.”
Daniel Morvan dans 303
novembre 2021
“Un roman noir en forme de fable, illuminé par une langue de haute tenue. Un petit bijou.”
Bernard Fauconnier dans Témoignage chrétien
octobre 2021
“Un roman joyeusement irrespectueux, au style vif et précis.”
Laurent Gourlay dans CDF Mag
septembre 2021
“Bailly ! Un auteur à découvrir.”
Fabrice Langlet Librairie des Nouveautés, Paris
septembre 2021
“Le pragmatisme cruel du personnage marque durablement.”
Stéphane Babey dans Vigousse
août 2021
“Un roman court, dense, à l’écriture concise et troublante.”
Bruno Didier dans Insectes
deuxième trimestre 2021
“Le grand entomologiste Jean-Henri Fabre sous les traits d’Anthelme qui lui ressemble presque parfaitement.
Mœurs animales et humaines se mêlent délicatement dans ce beau récit.”
Le Biglemoi
juillet 2021
“Jean-Louis Bailly démontre encore sa maîtrise technique.”
Thierry Guidet dans Place publique
juillet-août 2021
“Jean-Louis Bailly s’amuse des fantasmes d’un entomologiste.”
Olivier Maulin dans Valeurs actuelles
juillet 2021
“la précision chirurgicale et l’ironie délicieuse.”
n° 28 du Publicateur du Collège de ‘Pataphysique
juillet 2021
“Un délicieux petit livre.”
Stéphane Pajot dans Presse Océan
juin 2021
“Un petit chef-d’œuvre d’humour noir. Le style est dense et incisif et les trouvailles stylistiques font l’un des bonheurs du livre.”
Charles Rieux
juin 2021
“Les mains propres, qui se lit quasiment d’une traite, donne à entendre une voix, faite (tressée) de plusieurs timbres : non une “petite musique”, mais quelque chose de sensible, vocalement.”
Christian Rosset dans Diacritik
juin 2021
“Jean-Louis Bailly réussit une pseudo-biographie disruptive pleine de fantaisie, mais où la documentation entomologiste reste d’une rigueur absolue. C’est drôle et absurde.”
Isabelle de Montvert-Chaussy dans Sud Ouest Dimanche
6 juin 2021
“Le formidable portrait romancé d’un entomologiste fameux devenu meurtrier égotique en puissance sous la plume réjouissante de Jean-Louis Bailly..”
Antoine Faure dans 130 Livres
mai 2021