aux lecteurs de l’arbre vengeur, à ceux qui le deviendront, à ceux qui oublient qu’ils l’ont été, à ceux qui ne le seront jamais, à nos auteurs, vivants précieux, défunts dont nous fleurissons les tombes, à nos familles qui supportent ce terrible vice et ces envahissants cartons. Oui, tous nos vœux, quand même.