Ce qui s’appelle aller à contre-courant ? Pas sûr… Nous recevons d’un éditeur russe plutôt du genre résistant, qui avait déjà publié un de nos livres, sa traduction de Quinzinzinzili, le chef-d’œuvre noir d’anticipation du grand Régis Messac, un roman post-apocalyptique qui imagine la terre après l’explosion de la Bombe aux mains de quelques jeunes enfants, un sujet qu’on imagine très sensible au-delà de l’Oural. La couverture ne fait pas dans la demi-mesure comme on peut en juger. A noter que le livre contient aussi Valcrétin que nos amis de La Grange Batelière viennent d’intelligemment rééditer. Car y a-t-il rien de plus actuel que notre ami Messac ?