Naufrageurs

Publié en 1882, peu avant L’île au trésor, The Merry Men (traduit naguère par Les Gais lurons qui rend peu l’effet voulu par l’auteur) est une des plus inquiétantes novellas du maître écossais, sorte de « sonate fantastique à propos de la mer et des naufrages » qui confronte un jeune homme à ses ambitions de richesse et d’amour : en voulant conquérir et mériter sa belle, il va enclencher une série de catastrophes qui touchera sa famille de naufrageurs. C’est sans aucun doute un des chefs-d’œuvre courts de l’auteur du Maître de Ballantrae.

The Merry Men traduit par l’excellent et irremplaçable Théo Varlet (auteur à notre catalogue), préfacé par le Long John Silver de la littérature française, Jean-Pierre Ohl et signé du définitivement génial Stevenson, sur le pont le 17 mai !