Adam a conquis le Pôle Nord en solitaire, conscient cependant d’avoir déréglé l’ordre du monde. A son retour, il réalise que lui seul a été épargné par l’immense nuage pourpre qui est passé en détruisant l’humanité. La Terre est désormais silencieuse, comme figée. Les traces de l’homme y sont partout, vaines, innombrables. En découvrant ce monde qu’il arpente, l’ultime survivant va tenter de donner un sens à sa présence absurde, semant pendant des années, tel un démiurge fou, un feu dont il espère la lumière. Mais au cœur de cet Eden infernal l’attend la chance d’une rédemption…
Imaginé en 1901, ce roman post-apocalyptique hallucinant qui égale les chefs d’œuvres de Wells, n’a aucun équivalent dans la littérature mondiale. M.P. Shiel y déploie un art baroque de la démesure qui laisse pantois son lecteur plus d’un siècle après sa sortie.
Un classique visionnaire du roman de science-fiction.
“Un sommet du roman postapocalyptique, totalement hypnotique et surprenant.”
Alexandre Fillon dans Le Point “Spécial S.-F.”
novembre 2018
“La démesure et le souffle qui traversent ce roman parfois controversé en font indiscutablement un ouvrage unique à découvrir, voire même un chef-d’œuvre.”
Christine Brignon dans Gandahar
octobre 2018
Nuit blanche
septembre 2018
“Un livre pour le moins étonnant”
Maelle Alan dans Bifrost
juillet 2018
“Ce qu’il reste de ce Nuage Pourpre, au bout du compte, c’est une poésie du désastre d’une magnifique noirceur.”
Jérôme Leroy dans Valeurs actuelles
5 juillet 2018
“Totalement envoûtant, “Le Nuage pourpre” frappe par sa modernité et la manière qu’a M.P. Shiel de bâtir sans effets de manche un univers apocalyptique digne des tableaux de Jérôme Bosch”
Alexandre Fillon dans Sud Ouest dimanche
1er juillet 2018