On doit à Patrick Reumaux, fameux mycologue, romancier et poète, des traductions de Mervyn Peake, W. H. Hudson, Flann O’Brien, Emily Dickinson, E. Lee Masters, les frères Powys (et Philippa), Dylan Thomas, D. H. Lawrence, Salvatore Quasimodo, John Steinbeck, Seumas O’Kelly ou R. L. Stevenson.

Catherine Delavallade est traductrice. À son actif à l’Arbre vengeur : Charles Dickens, D.H. Lawrence, G.K. Chesterton et Nathanael West. En 2019, L’Arbre vengeur a édité sa traduction de nouvelles de Stanley Weinbaum, regroupées sous le titre Aux limites de l’infini.

Si « aucun homme n’est une île », certains aspirent néanmoins à découvrir celle qui les rendra heureux. Le héros de ce récit, l’un des derniers et des plus intenses de D.H. Lawrence, a choisi de quitter le continent pour se tailler un royaume à sa mesure. Mais où trouver sa plénitude ? Comment être à soi-même un territoire fini ? Botaniste qui tente d’ordonner le chaos […]

D.H. Lawrence s’est imposé comme un romancier sulfureux, et c’est lui faire grand tort que de le limiter à cette place dans la littérature. Prolixe, doué de tous les talents, il fut peintre mais on l’ignore, il fut poète, on le traduit peu. C’est un grand nouvelliste, qui s’en soucie sinon les éditions Le bruit du Temps engagées […]