Jean-Michel Perrin est graveur de linoleum et illustrateur (« Les Éditions des Arènes », « Le Magazine littéraire », « Picsou Magazine », la revue de psychanalyse « L’Autre », etc.) Il habite Paris où il a longtemps participé à la vie de la maison d’édition graphique « Fish & Chips » dont on retrouve aujourd’hui les fondateurs bien entourés sur le site du dessinateur […]

Isabelle Pierron est née et vit à Nancy, où elle a notamment été peintre-décorateur pour l’Opéra. C’est là qu’elle fera sien un bien joli principe : “Un minimum de moyens pour un maximum d’effets.”

David Prudhomme vit à Bordeaux. À son actif récent, l’adaptation du roman de Brassens La Tour des Miracles (avec Etienne Davaudeau, chez Futuropolis), l’album La marie en plastique (avec Pascal Rabaté, toujours chez Futuropolis), primé “Essentiel” au festival de la bande dessinée d’Angoulême en 2008 et “Rebetiko”, primé lui-aussi à Angoulême, mais aussi à St Malo et Monaco.

On ne présente plus Pascal Rabaté, si ? Au cas où, on peut alors cliquer ici.

Cécile Roubio est illustratrice et graphiste. Elle vit et travaille à Bordeaux.

Après s’être beaucoup consacré à la bande dessinée (Nénéref, Coquetèle, Les Ostings) et au dessin de presse, Vincent Sardon fabrique désormais des tampons. Il les vend et relate les vicissitudes de cette activité avec un amour évident par le biais de son site : le-tampographe-sardon.blogspot.com.

Avant d’être envoyée par l’Institut impérial de Calédonie sur le site des ruines de Paris puis de réfléchir longuement à la plus jolie façon de représenter les valseuses du Divin, Amandine Urruty a successivement été musicienne, affichiste, illustratrice et peintre sur corps pour le chanteur des années 2000 Philippe Katerine. Elle a déjà plusieurs expositions […]

Vincent Vanoli, avant d’illustrer les nouvelles de Marc Petit ou Erckmann-Chatrian publiées par l’Arbre vengeur, est l’auteur depuis 1989 d’une trentaine d’ouvrages édités par L’Association, Six pieds sous terre ou les Requins Marteaux. On lui doit notamment L’usine électrique, La comète, Les contes de la désolation, L’attelage, Panique à Saint-Pancréas, et… L’arbre vengeur. www.vincent-vanoli.fr

À force d’illustrer Marc Stéphane, Alain Verdier en a perdu un peu de raison, pas mal d’appétit et beaucoup d’encre.

Greg Vezon pratique l’illustration et le graphisme à Bordeaux. Ses influences vont de Gustave Doré à Charlie Schlingo en passant par Bernie Wringston et Basil Wolverton.

Autodidacte forcené, amoureux des arts et des formes, se mêlant joyeusement de théâtre et de musique auxquels il a plus d’une fois associé sa pratique du dessin, Alfred s’illustre régulièrement dans les livres de l’Arbre vengeur. La plupart de ses albums de bande dessinée sont parus chez Delcourt (Pourquoi j’ai tué Pierre, Je mourrai pas gibier, les séries Octave et Le désespoir du singe), […]

Gabriele D’Annunzio (1863-1938) a marqué durablement les Lettres italiennes par son génie fiévreux, sa sensualité exacerbée et son égotisme exalté. Poète, dramaturge, il connut la gloire avec ses romans L’Enfant de volupté, Le Triomphe de la mortet Le Feu avant de s’embarquer dans des aventures de condottiere qui en firent une légende parfois vite caricaturée. Son souci de faire de […]

René Dalize, né chevalier René Dupuy des Islettes en 1879, est l’aîné et le plus proche ami d’Apollinaire, qui lui a dédié Calligrammes. Officier de marine, mais « marin facétieux », descendant du poète créole Dupuy des Islets (amant de Joséphine et introducteur du menuet aux Antilles), il initia à l’opium une partie notable de l’intelligentsia.Il est l’un […]

Edmondo De Amicis (1846-1908), d’abord officier dans l’armée italienne, abandonna la carrière après le succès de La Vie Militaire (1868). Attiré par les voyages, il se fit l’inventeur du reportage documentaire, mettant sa plume et son enthousiasme au service d’un rigoureux travail d’observateur : Maroc (1876), Constantinople (1879), Sur l’Océan (1889) qui aborde le vif problème de l’émigration italienne. De plus en plus impliqué […]

Issu d’une famille modeste, Charles Dickens naît en 1812 dans un faubourg de Portsmouth. Ayant grandi à Londres, à l’ombre d’un père impécunieux que ses dettes mèneront en prison, obligé de travailler très jeune, il sera d’abord clerc d’avoué, reporter, avant de publier ses premières histoires dans les journaux. Le succès vient très vite avec […]

Syndicaliste révolutionnaire et ami stéphanois de la philosophe Simone Weil, Jean Duperray (1910-1993) fut le romancier noueux du fait divers et de l’énergie populaire. Né en 1910, fils d’un instituteur et d’une couturière, il est un digne enfant de la Sociale, un hussard rouge et noir de la République. Parti pour suivre le modèle paternel, il découvre la littérature révolutionnaire et s’encarte à […]

Henri Duvernois, de son vrai nom Henri Simon Schwabacher, est né en 1875. Secrétaire d’édition puis journaliste, il se lance dans la littérature avec des nouvelles et rencontre son premier succès en 1908 avec Crapotte. Au cinéma, il est reconnu pour ses dialogues (Le Scandale, Marcel L’herbier). Son œuvre dramatique – Seul, La Dame de bronze et […]

S’il compte parmi les minores des Lettres belges du XIXe siècle, Jean-François Elslander n’en a pas moins laissé derrière lui une oeuvre qui frappe par sa violence extrême et l’outrance langagière nécessaire à son expression. Né à Bruxelles en 1865, cet instituteur que l’on surnommait le « lycanthrope du naturalisme » fait son entrée en littérature en 1890, avec […]

Alexandre Chatrian (1826-1890) et Émile Erckmann (1822-1899) formèrent durant plusieurs décennies un duo connu sous le nom commun d’Erckmann-Chatrian. Lorrains tous deux, ils se lièrent pendant leurs études avant d’entamer dès 1847 une riche collaboration, le premier se concentrant sur la composition et l’édition quand le second se chargeait de la rédaction. Ils débutent dans […]

Carlos Calderón Fajardo est né en 1946 à Juliaca au Pérou. Il a enseigné la sociologie à l’Universidad Nacional de Ingeniería. Il publie dès les années 60, très vite repéré et honoré (Prix J.M. Arguedas). En 1985, il reçoit le Prix Hispamérica de la nouvelle. On lui doit de nombreux romans qui le placent à la fois au centre des Lettres péruviennes et dans […]

Maurice Fourré (1876-1959) publie son premier livre en 1950, à l’âge de soixante-quatorze ans, grâce à Julien Gracq : La nuit du Rose-Hôtel inaugure ainsi la collection d’André Breton “Révélation” dont il restera le seul auteur… Roman-poème à la tonalité érotique, il suscite un accueil enthousiaste de Gaston Bachelard et Jean Cocteau, mais est boudé par le public. […]