Marie-Louise Audiberti

Tout en ayant longtemps œuvré comme traductrice de l’allemand et de l’anglais — on lui doit notamment des traductions de Martin Walser, Peter Handke, Uwe Johnson, Albrecht Goes ou Arthur Schnitzler —, Marie-Louise Audiberti mène une carrière de romancière et d’essayiste discrète, préférant à la quantité l’intensité.

Sont parus entre autres La dent d’Adèle (Grasset), Volcan sur l’île (Plon), Viens, il y aura des hommes(Stock) et les essais Robert Walser, un vagabond immobile (Gallimard, collection L’un & l’autre), Écrire l’enfance (Autrement) ou Brahms, un génie ordinaire (Plon).

Son intérêt pour le théâtre l’a également amenée à adapter de grands noms pour la scène. Elle s’occupe parallèlement de l’Association des Amis de Jacques Audiberti et fait partie du jury du Prix Prométhée de la nouvelle.