Jules Janin (1804-1874) débute au Figaro à 21 ans, ayant abandonné le droit, il travaille à la Revue de Paris et la Revue des Deux Mondes et contribue à la création de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. En 1829, il publie L’Âne mort et la femme guillotinée, où il parodie à l’envi la littérature macabre en vogue. Il assurera pendant 40 ans le feuilleton dramatique du Journal des débats, soutenant l’école romantique. Très aimé de son temps, il plongea vite dans l’oubli.