Franz Bartelt

Franz Bartelt est Ardennais, il habite pas très loin de Charleville-Mézières.

C’est tôt qu’il commence à écrire, même s’il publie plutôt tard, après avoir connu la vraie vie et notamment l’usine. Avant la quarantaine, il décide de se consacrer à l’écriture, enchaînant les livres, notamment chez Gallimard où il connaît le succès. Il fait souvent rire son monde, passant de la dramatique au polar (avec deux Série Noire mémorables, Le jardin du bossu et Chaos de famille), et de la nouvelle au roman, ayant publié plus d’une cinquantaine de livres.
Il a connu de beaux succès avec ses derniers romans chez Seuil Policier dont Hôtel du Grand Cerf (Grand Prix de littérature policière, Prix Claude Chabrol). Distinguons aussi chez Gallimard Les Fiancés du paradis, La Chasse au grand singe, Le Costume, Les Bottes rouges (Grand prix de l’Humour noir), Le Grand Bercail, Le Bar des habitudes (prix Goncourt de la nouvelle), Pleut-il ?, Le Testament américain, Le fémur de Rimbaud (Prix des Hussards) ou Comment vivre sans lui ?.

Comme il est partageur, il a aussi publié chez d’autres éditeurs : Depuis qu’elle est morte elle va beaucoup mieux (Le Sonneur), La bonne a tout fait (Baleine), Je ne sais pas parler (Finitude), Parures (In8), La Fée Benninkova (Le Dilettante), Plutôt le dimanche (Labor), Nulle part mais en Irlande (Le Temps qu’il fait).
L’Arbre vengeur a publié Of course, Souvenirs du théâtre des opérations, Le bon temps et Almanach des uns, des unes et des autres et n’a pas l’intention d’en rester là.